Après 709 jours hors des terrains, Presnel Kimpembe a rejoué avec le PSG ce mardi. Le défenseur français est rentré en cours de jeu lors de ce match de Coupe de France contre Le Mans.
Le calvaire est terminé pour Presnel Kimpembe. Le défenseur de 29 ans a retrouvé les terrains après une très longue période d’absence. Il aura fait pratiquement deux ans sans jouer au football. Mais ce mardi, c’était la délivrance pour lui. Puisque Luis Enrique l’a finalement lancé contre Le Mans en Coupe de France. En menant 2-0, le technicien espagnol a jugé que c’était le bon moment pour accorder du temps de jeu à Presnel Kimpembe.
Ainsi, il l’a lancé à la 81ᵉ minute de jeu. À son entrée, ce dernier avait récupéré le brassard de capitaine qui était au bras d’Achraf Hakimi. Et après tant de mois sans jouer au football, Presnel Kimpembe n’a pas caché sa joie à la fin de la rencontre qui a consacré la victoire du PSG contre Le Mans (2-0).
Presnel Kimpembe déborde de joie
Le chemin de retour aura été long, mais Presnel Kimpembe est désormais de retour. Au micro de France Télévisions, il a déclaré : “c’est beaucoup de fierté pour moi, c’était long, pas facile, aujourd’hui c’est une délivrance”. Par la suite, il ajoute : “forcément beaucoup d’émotion. C’était un long chemin et aujourd’hui c’était le chemin pour enfin se libérer, reprendre les sensations avec les collègues. La vérité, c’est qu’on est ensemble depuis un moment, mais pour la plupart je n’ai jamais joué avec eux ! Les matches, ce n’est jamais la même chose que les entraînements”.
Toutefois, on pouvait remarquer très vite que ce dernier n’était pas encore dans le bain. Puisque Kimpembe a récolté un carton jaune après avoir fait juste deux minutes sur le terrain. Il n’était pas aussi loin d’être à l’origine d’un but. Interrogé sur ce point, il avoue ne rien regretter de ses gestes ce mardi soir. “Je n’ai pas trop réfléchi, j’ai essayé de jouer comme je savais faire, même si c’est une reprise. Il faut réussir à mettre toutes ses émotions de côtés, retrouver les coéquipiers”, dit-il.